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Jan 14, 2024

REVUE BLEU : Les Rolling Blue Bombers cimentent leur place dans le Big de la LCF

Ce n'est pas souvent qu'une équipe peut abandonner deux interceptions pour des touchés et proclamer qu'elle a joué un match de football complet.

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Bon sang, d’habitude, on ne gagne même pas des matchs comme celui-là.

Les Blue Bombers de Winnipeg ont non seulement surmonté cela pour battre Montréal jeudi, mais ils ont anéanti les Alouettes dans l'une de leurs performances les plus dominantes de ce qui est en train de devenir une autre saison dominante dans l'Ouest de la LCF.

Retirez la paire de pick-six du quart-arrière Zach Collaros en première mi-temps, et cela aurait pu se terminer par une humiliation de 47-3.

Si un décompte de 47-17 peut réellement flatter le perdant, c'est celui-ci qui l'a fait.

Et Montréal n'était pas en reste, à 6-3.

Après avoir été tenu en échec sans touché une semaine plus tôt à Calgary, les membres de l'offensive des Bombers ont insisté sur le fait que ce match n'avait pas pour but de se racheter ou de prouver quoi que ce soit à qui que ce soit.

Ils ont réussi à accrocher six majeurs au tableau contre les Alouettes avec une attaque aussi brutalement efficace qu'équilibrée.

De l'autre côté du ballon, la défense de Winnipeg avait gardé les Stampeders hors de la zone des buts la semaine dernière. Alors, qu'est-ce que ça fait pour un rappel ?

Maintenir Montréal à un panier et 173 verges nettes, même avec le quart partant Cody Fajardo de retour aux commandes, en utilisant une combinaison étouffante de pression, de couverture de passe, de bourrage de courses et de bonnes frappes à l'ancienne.

Même les équipes spéciales assiégées de Winnipeg ont tenu bon jeudi dans une victoire qui renforce encore davantage les Bombers comme équipe à battre de la division – du moins, jusqu'à la troisième et dernière fois qu'ils affronteront les Lions de la Colombie-Britannique, sur leurs talons.

Près des deux tiers de la rencontre, les Bombers ont une fiche de 9-2, ont remporté cinq victoires consécutives et ont montré une myriade de façons de s'imposer.

Cela est de bon augure pour les affrontements annuels consécutifs avec son rival, la Saskatchewan, à venir.

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Mais avant de regarder vers l'avenir, revenons sur les nombreux points positifs, les quelques points négatifs et les conclusions que l'on peut tirer de l'annihilation des Alouettes jeudi.

– Commençons par la défense et certains des chiffres qui montrent à quel point la sale douzaine de Winnipeg était dominante. Montréal n'a réussi que 10 premiers essais (les Bombers en avaient 25) et a réussi six en 20 lors des conversions en deuxième essai. Cela fait beaucoup de deux-et-outs. Les Bombers ont connu des matchs au cours desquels ils ont produit plus de sacs du quart-arrière, forcé plus de revirements et réalisé de plus gros jeux en défense, mais en étouffant complètement 60 minutes, c'était aussi bon qu'ils l'ont été. Le jeu de course des Alouettes, d'une moyenne de plus de 100 verges, n'en comptait que 42, soit une moyenne dérisoire de 3,0 verges par pop.

"Quand un gars réussit à gagner cinq verges, la défense n'est pas très contente", a déclaré l'entraîneur-chef Mike O'Shea après le match. "Et ils vont juste là-bas et le verrouillent un peu plus."

Une semaine plus tôt, la défense avait limité Calgary à moins de 250 verges au total.

Jeudi, ils ont maintenu Montréal à 173, ramenant leur moyenne de la saison à moins de 300 par match, juste là avec l'unité la mieux classée de la Colombie-Britannique. Peut-être la statistique la plus impressionnante : Montréal n'a récolté en moyenne que 3,8 verges par jeu, les tacles punitifs de Winnipeg mettant fin à la plupart des jeux presque avant qu'ils ne commencent.

– Ce n'est pas facile pour un quarterback de surmonter deux erreurs flagrantes qui mènent à deux touchdowns défensifs en première mi-temps. Les crampes cérébrales de Collaros sont survenues dans la foulée du pick-six qu'il a lancé lors de son dernier jeu avant de se blesser, deux semaines plus tôt. Dire qu’il était imperturbable ne raconte cependant qu’une partie de l’histoire.

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